La Soumission De Ma Belle-SœUr 4 Et Fin

La nuit fut courte mais agréable. Des rêves érotiques avaient occupé l’esprit de Gaétan qui se réveilla avec une gaule d’enfer. Fabienne ronflait et même si cela ne l’avait pas gêné durant la nuit, cela lui procurait une excuse de plus pour la punir.
- Debout.
Fabienne ouvra les yeux et mis un peu de temps à reprendre ses esprits, où était-elle ? Ah oui ! En un instant elle se redressa et se mit en position à genoux.
- Bonjour Monsieur.
- Tu ronfles c’est désagréable, je me demande si tu vas pouvoir encore dormir dans la chambre.
- Pardon Monsieur, je suis désolé.
- Tu fais bien de l’être mais cela ne suffit pas. Att-moi les pinces.
Fabienne, toujours à genoux, elle avait compris la leçon, alla chercher les pinces et les remis à Gaétan. Il en prit 6 et commença à les positionner sur les seins lourds de Fabienne. Une sur chaque téton et une de chaque côté. Il voyait bien qu’elle en avait l’habitude car elle ne fit pas même une grimace.
- Suis-moi, à genoux.
Arrivé dans la salle de bain, il la fit mettre dans la baignoire. Fabienne commençait à comprendre ce qui pourrait lui arriver. Gaétan lut son inquiétude dans ses yeux.
- L’urine du matin est la plus gouteuse.
Fabienne appréhender cette phrase, s’il y avait bien une chose dont elle n’avait pas envie c’était bien de boire l’urine du matin.
- Ne t’inquiète pas, tu n’es pas encore une assez bonne connaisseuse et ce serait gâcher que de t’offrir ce nectar. Tourne-toi, mets ta tête en arrière et ferme les yeux.
Elle sentit le jet sur son front, couler sur ses cheveux et gicler sur son visage et son corps. L’odeur était forte, plus que la veille. Malgré cela, elle entrouvrit la bouche pour capter quelques gouttes et se faire une opinion sur ce pipi matinal. Gaétan le perçut tout de suite et s’en amusait. Ainsi la souillonne prenait plaisir à être ainsi traitée. Le goût était fort, acre, mais tout compte fait pas si désagréable.


- Suce-moi.
L’ordre était tombé et ne méritait aucun commentaire. Elle prit en bouche cette bite non égouttée et commença son travail de léchage, en la prenant en bouche pour la sentir grossir. Ce en fut pas long et Gaétan repris vite de la vigueur.
- Lèche-moi le cul. Il adorait cette pratique et aimait les intromissions en cet endroit, mais la langue de sa soumise suffira.
- Reprends-la en bouche.
Fabienne mettait du cœur à l’ouvrage et s’appliquait à faire la meilleure pipe de sa vie. Gaétan qui savait ne pas résister longtemps à cette caresse buccale, chercha à frustrer Fabienne.
- Arrête, ça suffit, même une pipe toute simple tu n’y arrives pas, c’est pathétique.
Le regard de Fabienne en disait long, qu’avait-elle mal fait ? Elle ne comprenait pas. Pour Gaétan c’était une petite victoire, quoi de mieux que de frustrer une esclave, surtout sur ce qu’elle fait de mieux.
- Lave-toi, n’oublie pas un petit lavement et tu remets le plug ensuite. Avant lève-toi que je te retire tes pinces.
Gaétan pris un des seins lourds dans sa main et retire les pinces une à une en veillant à enlever celle des tétons en dernier. A chaque fois la sensation est la même, l’afflux de sang dans les zones pincées faisait ressentir comme des « fourmis » mais en plus intense, des démangeaisons qu’il fallait masser, mais cela lui était interdit.
- Quand tu as fini, tu descends dans la cuisine, on prendra le petit dèj.
Quinze minutes plus tard Fabienne arrive dans la cuisine. Le petit déjeuner est prêt. Jus d’orange, pain toasté, beurre et confiture. Hum un régal !
- Nous sommes dans une situation particulière, Virginie ne va pas partir toutes les semaines, alors je compte vivre ces quelques moments à fond. Tu es d’accord ?
- Oui Monsieur.
- Je ne cherche pas une soumise carpette, incapable de penser. Je recherche plus une complice de jeux sexuels dans le respect de nos choix. Je te le redis tu peux arrêter à tous moments, tu en es consciente.

- Oui Monsieur.
- Pour ces quelques jours le jeu prendra le pas sur nos vies, cela permettra de voir nos limites et si nous sommes compatibles dans nos plaisirs. Je ne te demanderais pas de faire la soubrette ou la servant si cela n’a pas une vertu ludique.
- Oui Monsieur.
- Bien passons au petit déjeuner, café ou thé.
- Thé Monsieur.
- Un nuage de lait ?
- Non merci Monsieur.
- Si avec un nuage !
Gaétan sorti du frigo le verre de la veille avec du sperme à l’intérieur.
- Tu as été tellement mauvaise que j’ai dû me finir le temps que tu prennes ta douche, alors maintenant voilà ton nuage de mon lait. Lui dit-il avec un grand sourire qui indiquait le degré de satisfaction que lui procurait son geste.
Fabienne pris le verre, le versa dans son thé et but pour la première fois ce style d’infusion qui ma fois n’était pas mauvaise.
Petit déjeuner pris, débarrassé, Gaétan interpella Fabienne.
- Tu veux jouir ?
- Oh oui Monsieur lui répondit-elle dans un souffle d’espoir.
- Cela va dépendre de cet instant. Je vais tester des capacités d’endurance de la douleur et ainsi voir ce que tu peux endurer. IL va te falloir être forte mais la récompense sera au bout. Tu es prête ?
- Ou Monsieur, fit-elle avec de l’inquiétude dans la voix.
Fabienne était maso, mais jamais elle n’avait réellement testé son endurance. Elle appréhendait cet exercice pour deux raisons. Elle ne voulait pas déplaire à son maître et elle avait une envie de jouir comme jamais. Elle savait qu’elle devait se concentrer.
- En position.
Fabienne se leva, mit ses deux mains derrière la tête et écarta ses jambes. Il prit un peu de temps pour contempler son corps qu’il aimait bien. Ses seins lourds pendaient à merveille, ses tétons dardaient mais n’étaient pas assez long à son goût (il faudra y remédier pensa-t-il). Son ventre tombait un peu, juste assez pour voir sa chatte épilée. Ses grandes lèvres n’étaient pas si grandes.

- Ecartes ta chatte et montre moi tes petites lèvres et ton bouton.
Il put tout de suite constater l’effet de la séance. Sa chatte n’était pas mouillée, elle luisait et coulait littéralement. L’intérieur bien rose dévoilait des petites lèvres fines et un clitoris qui semblait grossir à vue d’œil.
- Remets-toi en position. On va commencer par étirer ses grandes lèvres qui ne pendent pas assez à mon goût. Gaétan pris les pinces, en plaça deux sur chaque grandes lèvres, Fabienne esquissa tout juste un petit mouvement reflexe. Ensuite il prit les poids et les accrocha aux pinces, 50 grammes sur chaque lèvre pour commencer. Il rentre un doigt dans sa chatte et effleure son clitoris, aussitôt un gémissement se fit entendre, elle était prête et n’attendait que cela.
- Bien je vais commencer par ton cul à chaque claque tu comptes et tu dis merci.
Fabienne avait des fesses bien charnues, il allait adorer claquer ce cul.
Fesse droite, 1, merci Monsieur. Fesse gauche, 2, merci Monsieur. Gaétan s’appliquait à faire rougir ce cul uniformément. Il ne souhaitait pas ment lui faire des marques mais à obtenir une couleur rouge grenat qui sied si bien au cul fessé, juste lui chauffer. Il ne manquait pas de vérifier régulièrement si sa chatte continuer de mouiller. Fesse droite, 29, merci Monsieur, Fesse gauche, 30, merci Monsieur.
Son cul était bien rouge, il était bien chaud. Malgré l’effort, Fabienne avait réussi à garder le plug en place, ses sphincters fonctionnait bien.
- Alors pas trop dure, tu peux parler sans réserve.
- Oui Monsieur, j’ai bien aimé.
- Tu aurais pu en recevoir plus ?
- Je pense que oui Monsieur.
- Très bien nous essaieront plus tard. Maintenant les pieds ! Couche toi sur le dos.
A même le sol Fabienne se coucha et Gaétan place un petit banc sous ses mollets pour avoir ses pieds en hauteur.
- On recommence comme tout à l’heure, tu comptes et tu remercies.
Gaétan pris une règle plate en bois et commença.
Pied droit, 1, merci Monsieur, Pied gauche, 2 merci Monsieur. Dès le troisième coups la voix de Fabienne se fit chevrotante et elle avait toute la peine du monde à respirer normalement. Gaétan vit des gouttes de sueurs perlées sur son visage. La plante des pieds est fragile et Gaétan ne voulait pas la blesser autre mesure. Il prenait des précautions pour que la douleur soit sous contrôle. Pied gauche, 10, merciiii Mooonsieeur.
- Tu n’as jamais pratiqué cela ?
- Non Monsieur.
- Tu verras ton endurance s’améliorera, pour l’instant c’est un mauvais point pour la récompense, il va falloir assurer pour le reste.
- Oui Monsieur.
- Relève-toi, mets- toi en position et écarte bien les jambes.
Fabienne eu du mal à tenir sur ses pieds, c’était la première fois qu’elle expérimentait cette souffrance, pourtant cela lui avait procurer une sensation de plaisir difficile à définir.
Gaétan retire les pinces de ses lèvres et frotte énergiquement pour que le sang revienne. Cette caresse bien que rugueuse excite le clitoris de Fabienne qui ne peut réprimer un Hum de satisfaction.
- Maintenant on va s’occuper de cette chatte, toujours le même principe, tu es prête ?
- Oui Monsieur.
Main droite bien à plat, 1, merci Monsieur, main gauche, 2 merci Monsieur. 10 merci Monsieur, Fabienne gémit à chaque claque, bien sur cela lui fait mal, mais cette douleur l’électrise, elle la sent irradiée tout son corps. Elle observe Gaétan, il lève une jambe, il va lui faire avec les pieds, ça, elle le craint. 11, merci Monsieur, 12, merci Monsieur. Finalement Gaétan gère bien la force avec laquelle il applique les coups, juste assez pour sentir la douleur et faire monter le plaisir. 20, merci Monsieur.
- C’est bien tu as presque rattrapé ta séance des pieds mais la dernière séquence sera le juge de ta jouissance. Mets bien tes mains derrière la tête et lance ta poitrine en avant.
Gaétan était fasciné pas les seins de sa belle-sœur, il adorait ce genre de poitrine et il s’était gardé le meilleur pour la fin. Il prit un téton entre ses doigts, le tourna, et tira dessus vers le haut afin de soulever le sein. Le poids était si grand que Fabienne ne put s’empêcher de lâcher un humpch, de douleur étouffée. Il alla chercher le bâillon spider et l’installa en ouvrant la bouche de Fabienne. Avec ça, il faudra mieux te contrôler sur les sons que tu émets. La deuxième vertu de ce bâillon c’était de constater la grande sécrétion de salive qui ne pouvait que s’échapper par la bouche.
Gaétan retourna aux tétons, il les pinça, les vrilla et les étira à souhait, il adorait jouer avec cette poitrine. Fabienne, elle, évitait au plus possible de gémir de douleur ou de plaisir. Elle adorait souffrir des seins, c’était la sensation qui lui permettait de prendre le plus de plaisir, et même si elle ne lui en avait pas parlé, elle pouvait voir que Gaétan aussi prenait beaucoup de plaisir.
- Passons aux choses sérieux, comme tout à l’heure tu comptes et tu remercies. Mais attention appliques-toi car avec le bâillon ce ne sera pas simple.
Sein droit par le haut, 1, meri Aître. Sein gauche par le haut, 2, méhi Aître. Par le haut, sur les côtés, par le bas, Fabienne pris énormément de plaisir et sa poitrine était d’un très beau rouge, la douleur ressentie était lancinante et lui procurer des sensations intenses.
40, Méhi Aître. Gaétan s’arrêta, il avait pris un plaisir immense et il était prêt à éjaculer, comme cela direct, elle était endurante et semblait aimé, cela augurait des bons moments futurs. Elle bavait sans discontinuait et sa salive coulait le long de son corps se mélangeait avec sa transpiration, un vrai plaisir pour les yeux.
- Je pense que tu vas pouvoir avoir ta récompense, lui dit-il en enlevant le bâillon.
- Merci Monsieur.
- Mais avant va me cherche ton verre à sperme que je me finisse dedans.
Gaétan pris le verre et en moins de 3 minutes lâcha la sauce dedans.
- Va le mettre au congélateur, tu le boiras plus tard. Quand tu reviens tu te couche le dos sur la table et tu écartes les jambes.
Fabienne, en position espérait sa récompense tant attendue, cette jouissance qui lui a été interdite si longtemps. Gaétan pris une chaise et s’installa entre les cuisses de Fabienne. Il écarte ses lèvres doucement souffle sur son clitoris ce qui la fait frissonner. Il commence à lui lécher et s’applique à faire pénétrer sa langue dans son vagin. Fabienne souffle, et sens son plaisir monter à une vitesse fulgurante, il le sait et d’un coup arrête toute caresses, il se lève et la laisse seule dans la pièce. Fabienne est au bord des larmes, des vraies larmes de frustration. Mais que fait-il ? Pourquoi est-il parti ?
5 minutes plus tard Gaétan revient, elle n’a pas bougé, il l’observe, il sait bien que des milliers de questions tournent dans sa tête.
- Tu ne croyais tout de même pas que ce serait si simple. Tu crois que tu peux jouir comme cela avec la langue de ton maitre. Tu as gagné le droit de jouir et je dois te dire que j’ai fortement apprécié le goût de ta chatte qui dégouline. J’adore faire des cunnilingus mais tout de même si tu veux jouir il faut que tu le mérites.
Elle ne l’avait pas vu, mais Gaétan était revenu avec des gants et du gel, elle comprenait ce qu’il allait faire. Elle lui avait dit avoir déjà pratiqué le fist vaginal, mais c’était un mensonge, un petit de son point de vue, mais là c’était concret et ça allait arriver.
- Ecartes bien tes jambes et détend toi je te sens un peu sous pression.
Gaétan pris le gel et commença à en mettre sur ses doigts et la chatte de Fabienne. Les gestes doux de Gaétan la mettent en confiance, elle commence à se détendre. Un doigt, deux puis trois, vraiment aucun effort tout rentre sans problème. Le quatrième suit comme si c’était sa place, pour le cinquième, il sent bien que ce sera un peu plus difficile, il rajoute du lubrifiant, le cinquième rentre mais pas l’épaisseur de la main. Fabienne souffle de plus en plus rapidement, humpf, humpf, parvient-elle à peine à prononcer. Encore un peu plus de lubrifiant et petit à petit Gaétan regarde, fasciné cette chatte engloutir sa main. Ah, Ah, Ah, Fabienne ne se retient plus, cette sensation est extraordinaire, elle se sent remplie et la main entière appuie sur des régions non habituées à de telle sensation.
Gaétan fait des mouvements de va et vient, rajoute à chaque fois du lubrifiant et rentre à chaque fois un peu mieux à l’intérieur. Les cris de Fabienne lui indique qu’elle prend son pied. Il rajoute une caresse au clitoris de sa main libre et en quelques minutes de ce traitement, Fabienne se lâche, crie sa jouissance et manque de s’évanouir tellement ce fut fort. Les douleurs conjuguées et cette main ont eu raison de son esprit et lui ont permis d’atteindre un niveau de jouissance jamais égalée.
Gaétan soufflait, lui aussi était heureux d’avoir pu lui procurer autant de plaisir.
- Je suis rentrée plus tôt mon stage a été annulé !
Ils ne s’attendaient pas à entendre la voix de Virginie. La main dans le sac, ou plutôt dans la chatte de sa sœur.
- Je vois que vous vous amusez bien. Gaétan il va falloir qu’on parle !

Mais ça c’est une autre histoire…
Merci de me laisser des messages cela fait toujours plaisir.

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